Pour que les acteurs locaux puissent s’emparer de ce sujet et mettre en place des actions adéquates, le Syndicat Chère Don Isac a constitué un groupe de travail sur la limitation de la consommation d’eau dans les espaces verts et les terrains de sport.
Les communes du territoire ont été invitées à faire participer leurs élus ou agents. Et au final, il a fallu limiter les inscrits pour bien mettre en œuvre ces ateliers participatifs !

Durant l’automne 2021, 12 communes ont ainsi travaillé en partenariat avec Lucie Le Guen, Claire Stutz – respectivement chargée de mission contrôles et gestion quantitative des ressources en eau et conseillère en aménagement durable à la DDTM44* – et Alix Henry, chargée d’étude Biodiversité, Eau, Compensation écologique au Cerema**, pour identifier et définir les actions à engager.
Changer les pratiques, évoluer, servir d’exemple pour les autres usagers. Des actions bien compréhensibles sont ressorties comme l’utilisation d’espèces végétales adaptées et de paillages (photo d’en-tête).

Durant l’automne 2021, 12 communes ont ainsi travaillé en partenariat avec Lucie Le Guen, Claire Stutz – respectivement chargée de mission contrôles et gestion quantitative des ressources en eau et conseillère en aménagement durable à la DDTM44 – et Alix Henry, chargée d’étude Biodiversité, Eau, Compensation écologique au Cerema, pour identifier et définir les actions à engager.
Changer les pratiques, évoluer, servir d’exemple pour les autres usagers. Des actions bien compréhensibles sont ressorties comme l’utilisation d’espèces végétales adaptées.

La clé d’entrée : un diagnostic sur la caractérisation des postes de consommation. Puis la mise en œuvre d’une méthode d’évitement où toutes les solutions doivent être trouvées pour ne plus utiliser d’eau, à commencer par celle du robinet.
Et cela passera même par un travail de fond sur l’urbanisme pour mieux aménager l’espace public et faire aussi un lien sur une meilleure utilisation de l’eau de pluie en favorisant son infiltration là où elle tombe.